L'Américain Westinghouse remporte le marché chinois des réacteurs nucléaires grâce à des transferts de technologies.

Areva, notre champion national en matière de construction de centrales nucléaires a été coiffé au poteau par son concurrent américain qui n'a pas hésité à tranférer sa technologie afin de gagner ce marché.

Il s'agit là, après l'exemple Bombardier de l'ultime preuve de la déloyauté du système commercial international dans lequel nous évoluons.

Que va dire la Commission Européenne face à l'obligation imposée par les Chinois de transférer notre technologie ?

Rien !

Elle se déclarera incompétente et ne verra même pas qu'il s'agit là d'un "droit d'entrée" au moins aussi protectionniste qu'un droit de douane.

Lénine disait que les capitalistes allait vendre la corde avec laquelle ils seraient pendus : avec un siècle de retard, peut-être est-il en train d'avoir raison